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Friday, May 1, 2020

Tous mes meilleurs vœux pour ce 1er mai 2020.


Chers amis,

Aujourd'hui nous fêtons le 1er mai, la fête celtique de Beltane.

Beltane marque le passage annuel de l'obscurité et du froid à la lumière et la chaleur. C'est la fête du renouveau et de l'espoir. En cette période sacrée de l'année, le voile entre notre monde et le monde magique des mythes et de notre inconscient devient transparent pour celles ou ceux qui s'ouvrent à cette dimension.


En ces temps difficiles, où nous sommes obligés de nous isoler pour notre sauvegarde personnelle et la sauvegarde de tous, le sentiment d'un destin collectif, par-delà nos solitudes, devient une nécessité et une certitude: nous sommes tous profondément liés les uns aux autres ainsi qu'au reste de la Création et à notre mère, la Terre.

Pour ceux qui passent sur ce blog et ne sont pas déjà des lecteurs, la série des "Maîtres de l'Orage" parle de ces liens profonds entre nous tous et de la conscience magique en nous qui relie notre conscient à notre inconscient, notre vie personnelle au destin de notre race humaine et de notre planète -- à travers nos cultures locales, à l'échelle individuelle. 

Derrière l'intrigue pleine de rebonds et de surprises, derrière la grande Histoire et la mythologie celtique/bretonne, les personnages des "Maîtres de l'Orage" nous entraînent dans le monde fantastique de notre inconscient collectif, là où tout naît et tout s'achève, là où nous pouvons enfin nous reconnaître. 


Les quatre livres de la série sont disponibles en format électronique ou imprimé à la demande sur Amazon internationalement, ainsi que sur toutes les grandes plateformes ebooks et sites de grandes librairies en ligne (ils peuvent aussi être commandés en format imprimé dans toutes les librairies de France, de Belgique et de Suisse).

En ces temps inquiétants et sombres, nous avons tous besoin d'espoir, de chaleur humaine et de lumière. 

Je vous souhaite de tout cœur, mes chers amis, une belle fête du 1er mai, la santé bien sûr, mais aussi -- malgré l'angoisse, le chagrin et l'incertitude --, la paix et la joie qui naissent de la perception du merveilleux derrière notre quotidien.

Prenez bien soin de vous.





Saturday, March 26, 2016

Où l'on parle de Pâques et de renaissance // Of Easter and rebirth


Esprit de la nature dans un parc à Bath // Nature spirit in a park in Bath

Chers amis, // Dear friends,

 En ces fêtes de Pâques 2016, à l'occasion de cette célébration de l'espérance et du renouveau, la lumière née de l'espoir et de la renaissance est plus essentielle que jamais face aux ténèbres qui nous menacent. Après l'horreur du dernier attentat en Belgique par des hommes fous de haine et qui déifient la mort, il nous faut plus que jamais continuer à soutenir les forces de la tolérance, 
de la liberté et de la vie. // Easter is the feast of renewal, and in 2016 the light born of hope and rebirth is more essential than ever to face the darkness that threatens us. After the horror of the last attack in Belgium by men full of hate and who worship death, we need more than ever to support the forces of 
tolerance, freedom and life.

Le Christ délivrant des êtres humains de la mort (Saint-Sauveur-In-Chora à Istanboul) // Christ freeing humans from death (Saint-Saviour-In-Chora in Istanbul)

La fête chrétienne de Pâques célèbre la résurrection du Christ après une mort affreuse et injuste. Le Christ, juste avant de mourir dans d'horribles souffrances, lance un cri de terreur et de doute : « Mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonné ? ». Ce cri est tellement humain que nous le comprenons tous. Malgré ce moment de doute, il fait face à l'abîme de la mort, l'accepte et le transcende. Ainsi, nous dit la religion, il en neutralise l'horreur et la transforme en renaissance. // The festival of Easter celebrates the resurrection of Christ after a horrible and unjust death. Just before dying an excruciating death, Christ has a cry of terror and doubt: "Father, why hast thou forsaken me?" This cry is so human that we can all understand it. Yet, despite that moment of doubt, he faces the abyss of death, accepts it and transcends it. And this heroism, according to religion, neutralises the horror of death and turns it into rebirth.

Croix celtique à Iona devant le sanctuaire de saint Colomba // Celtic cross in Iona in front of Saint Columba's sanctuary

Ce sacrifice lumineux reproduit dans la psyché humaine le passage physique de la mort apparente de la nature en hiver à sa renaissance glorieuse au printemps. Renaissance qui paraît chaque année impossible lorsque nous grelottons au creux de l'hiver, mais renaissance qui pourtant se passe tous les ans. Nos ancêtres les druides et les mystérieux bâtisseurs des extraordinaires monuments de l'Âge Néolithique, considéraient cette connaissance comme sacrée. // This luminous sacrifice reflects in the human psyche the physical passage from the apparent death of nature in winter to its glorious rebirth in Spring. Each year this rebirth seems impossible when we’re shivering in the dead of winter. Nevertheless it happens without fail. Our ancestors, the Druids and the mysterious builders of the extraordinary monuments of the Neolithic Age, considered this knowledge as sacred.




Tout comme la roue des saisons tourne, de même la roue de la vie. Les ténèbres de la haine et de la mort nous entourent en ce moment, mais nous portons en nous toutes les promesses de la lumière, de la paix et de l'amour. N'oublions jamais ce trésor que nous avons au fond de nous, et que cette belle fête nous redonne espoir et nous rappelle la force immense qui nous habite et la puissance de la lumière pour dissiper les ténèbres. // As the wheel of seasons turns, so does the wheel of life. The darkness of hatred and death surrounds us right now, but we carry within ourselves all the promises of light, love and peace. Let’s never forget this treasure inside ourselves, and may this beautiful festival give us hope and remind us of the enormous potential within us and of the power of light to dispel the darkness.

JOYEUSES PÂQUES ! // HAPPY EASTER!

PS : À un niveau beaucoup plus personnel, après l'hiver sombre qu'a représenté l'année 2015, où mon éditeur s'est battu comme un tigre pour survivre à d'énormes difficultés financières, il semble que la roue de la vie ait tourné pour lui et que 2016 marque une période de renouveau, une seconde chance. 

Mes livres qui ont été en sommeil pendant toute cette période, reviennent peu à peu à la vie. Les deux premiers tomes, qui étaient bloqués entre l'ancien distributeur de mon éditeur (Les Belles Lettres) et le nouveau (Daudin), sont de nouveau disponibles à la FNAC. Quant à mon troisième, il va sortir cette année, mais je ne sais pas encore quand exactement. 

Dès que j'ai une date, je vous en ferai part. Je partagerai aussi avec vous la couverture, que j'adore, et la bande-annonce (avec une sublime musique par Westwind comme les deux précédentes). 
J'ai tellement hâte de pouvoir enfin partager ce livre avec vous !






Friday, July 3, 2015

Une petite visite en pays de Dinan, grâce à l'écrivain Yveline Féray (en français).




Chers amis, 

Alors que je me prépare à faire bientôt un petit saut en Bretagne, j'ai envie de partager avec vous ce texte magnifique écrit par ma marraine littéraire, l'écrivain Yveline Féray, à propos d'un endroit plein de spiritualité et de magie, l'Abbaye de Léhon. Dans ce texte, reposent l'esprit et le coeur de ma Bretagne natale, et sa fin est si belle qu'elle me donne des frissons. 

Si jamais vous allez faire un tour en Côtes-d'Armor (là où se déroule Les Maîtres de l'orage), je vous recommande vivement de faire un détour par la merveilleuse ville médiévale de Dinan et par la magique Abbaye de Léhon. Croyez-moi, vous ne le regretterez pas! 

A très vite!




ABBAYE DE LEHON

TERRE DES DIEUX, TERRE DES SAINTS,
TERRE DES HOMMES

« Je  suis né trois fois »
Taliésin, barde du Vème siècle

« La Bretagne, écrivait Saint-Pol Roux, est un univers » et dans certains lieux, nous sentons plus qu’ailleurs cet univers s’entrouvrir et respirer.

Certains lieux nous appellent et, d’instinct, nos pas nous y conduisent dans on ne sait quel secret espoir de retrouvailles avec ces très anciennes demeures qui furent les nôtres et dont nous conservons, d’âge en âge, la récurrente nostalgie sinon la mémoire.

Ainsi au sortir de Dinan, par l’ancienne route de Nominoë, premier roi de Bretagne, puis par celle de l’Abbaye qui longe la butte féodale, couronnée de ses pâtés d’enfant sage, et descend au cœur du vieux bourg, nous marchons vers cet acte de foi d’avant l’an mil : l’Abbaye de Léhon.

La voici, d’abord en son enfance, chapelle en bois, abritant les reliques de Saint-Magloire ; église ensuite, édifiée au IXème siècle grâce aux pierres d’un temple gallo-romain, brûlée avec son village au Xème siècle par les Normands et reconstruite au XIIème siècle « dans la pure tradition monastique », remaniée et son cloître roman rebâti au XVIIème siècle, puis sur ordre de  Louis XV - quittée au XVIIIème siècle par ses moines contraints à l’abandon, vendue aux enchères, comme bien d’Etat, pendant la Révolution, tour à tour brasserie, manufacture de toiles à voile et filature, tannerie, école, avant d’être cédée au XIXème siècle  à la mairie de Léhon pour, d’ancienne église abbatiale, devenir église paroissiale du village, ainsi sauvée de la ruine avant d’être classée « Monument historique » et dans la seconde moitié du XXème siècle, bénéficier de réhabilitations successives.

La voici donc, élevant est-ouest selon la règle, son église romane et gothique au fond de son verdoyant vallon, tendrement enlacée par la Rance, sous la protection des collines et des vestiges du château de Léhon…

Les jours ordinaires - s’ouvrent à nous, le petit jardin botanique du cloître, cœur du monastère et l’abbatiale Saint-Magloire, avec dans leurs enfeus, les remarquables gisants des Beaumanoir et ceux de deux dames châtelaines, le reliquaire du saint fondateur porté par un moine accoudé, un livre à la main à la table des nuages, les sculptures de bois ciré de Saint Joseph à l’Enfant et de la Vierge datant du Grand Siècle et du suivant, le bénitier, ancienne cuve baptismale du XIIIème siècle, au rebord usé par les faux des pieux moissonneurs selon la coutume d’antan…

Ces jours-là, franchissant le vieux pont de Léhon jusqu’au chemin de halage, nous pouvons encore contempler entre les arbres, le chœur de l’Abbaye, les vitraux de sa rosace et de sa  large baie à meneaux, par delà la ceinture moirée du canal d’Ille - et- Rance, dans l’écrin de paix de ses jardins.

Les jours privilégiés nous sont révélés, dans leur intimité, les bâtiments claustraux.

D’abord la salle du musée, jadis la salle du chapitre, salle d’étude de la communauté où antiphonaires, bibles latines et la Somme théologique de Saint Thomas d’Aquin rescapés de l’importante bibliothèque d’alors, ont été rassemblés, et sous nos pas exactement, la lumineuse plongée dans une salle de l’abbaye primitive - le scriptorium peut-être ? - vers la gardienne des lieux, sereine et majestueuse, une tête romane du XIIème siècle. Lui faisant suite,- aujourd’hui salle d’honneur de la mairie de Léhon -, l’ancien réfectoire des moines, sacrifié au sens pratique des bénédictins de Saint-Maur au XVIIème siècle, et réhabilité à la fin du vingtième dans l’envol de sa voûte retrouvée et la transparence bleu grisé des vitraux de ses hautes fenêtres gothiques. Seul monastère avec celui de Beauport à avoir conservé ainsi, en très bon état, un réfectoire médiéval.

Il nous faut ensuite monter le vénérable escalier de bois aux côtés de combien d’ombres silencieuses, aux capuchons baissés, jusqu’au dortoir des moines. Les cloisons des cellules ont disparu, reste une immense salle bellement éclairée par la lumière de la vallée, dévolue désormais à cette autre forme de prière qu’est la création et aux expositions. Et de découvrir au second les grands combles et leur impressionnante perspective de charpente de caravelle. Ici demeure, sorte de basse continue, le mystérieux écho de siècles de vie monastique rythmés par la règle bénédictine, de l’office premier des matines au dernier, celui de complies, les prières et les chants, les plaintes et les soupirs de tous ces hommes qui, dans le renoncement et la quête de Dieu, vécurent ici.

Une fois redescendus, laissant derrière nous les bâtiments conventuels, et les siècles passés, nous pénétrons au cœur de ces jardins de l’abbaye, qui près de la Rance, là-bas se font prairies, à la rencontre en pleine nature  de ces six moines qui, les premiers, raconte la Légende Dorée, venus de la Grande Ile Bretagne et d’Irlande aussi, s’enfoncèrent au plus profond de l’Argoat inextricable et firent choix de ce lieu.

En ce IXème siècle, pour ces six ermites point d’abbaye, de cellier du prieur, plein d’instruments aratoires, de plantes médicinales à sécher ; point de meule à moudre le grain ; point de citerne de pierre à recueillir l’eau du ciel, que nous voyons ici, pieusement conservés ; point de vignes, de potagers et de champs de blé ; point de moulins… Des huttes de branchages et entre quatre piquets, des litières d’herbes et de feuilles, leur bure de moine pour vêtement et couverture, des sandales d’herbes pour leurs pieds nus, la pêche et la cueillette pour nourriture. Pâles, les joues creuses, hirsutes avec au fond de leurs yeux brûlants la flamme dévorante de ceux qui ont renoncé à tout ce qui n’est pas leur foi. C’est ainsi que le Roi Nominoë, qui chassait en ces parages le sanglier, les trouva et eut pour leur misère grande pitié… La suite - nous la connaissons, c’est finalement avec l’assentiment du Ciel, qu’ils se firent voleurs de reliques et obtinrent du roi Nominoë leur monastère.

Six moines au commencement à choisir la terre de Léhon, et six moines à la fin à s’en arracher pour disparaître à jamais… Comme avalés dans la Douna, la « Profonde » l’impénétrable forêt du commencement des commencements, celle des Celtes « planteurs » de menhirs, des Druides aux trois cercles d’existence, plus tard la Brocéliande des métamorphoses, des prisons invisibles et du Val sans Retour.



Dans le silence, le Chant du monde.

Il nous vient en ces lieux, l’air vif sur le visage et la terre retrouvée sous nos pieds, une exaltation proche du vertige. Comme si l’univers s’entrouvrait sur le mystère de notre présence ici-bas, sur le connu et l’irrémédiablement oublié des origines, dont nous nous sentons soudain plus proches que jamais et cependant tenus à distance.

Comme si nous retrouvions en un éclair, héritage d’une « civilisation immémoriale », les strates de nos âmes successives porteuses de tout ce que nous avons cru et croyions encore et qui demeurent en nous autres Bretons, selon Anatole Le Braz, « à l’état de forces souterraines demeurées vivantes et agissantes ».

Comme si, en ces lieux sacrés, parcelles de Dieu ne pouvant être anéanties, elles vibraient en nous…

Nous, un instant, harpes éoliennes de l’univers.


Yveline Féray
Dinan – 15 octobre 2014

(Copyright : revue "Le Pays de Dinan" 2014)



Wednesday, November 19, 2014

Quelques nouvelles de La Voix de l'Égrégore.


LA VOIX DE L'ÉGRÉGORE, le troisième tome des Maîtres de l'Orage, sera publié en mars 2015. Il est presque fini. :)




Friday, October 31, 2014

Bonne Samhain / Halloween / Toussaint!



Lecture recommandée par le dieu Odin et ses corbeaux Hugin and Munin ...


Chers amis,

Juste un petit mot pour vous souhaiter à tous une très bonne Fête de Samhain / Halloween / Toussaint. Que les esprits vous soient propices et que vos morts reposent en paix!

À bientôt!


PS: Pour en savoir plus sur cette fête ancestrale en s'amusant:

http://www.lexilogos.com/halloween.htm (adultes)

http://www.momes.net/dictionnaire/minidossiers/halloween/origine-halloween.html (famille)

http://cours-gratuits.toutapprendre.com/?cours=quelle-est-l-origine-d-halloween (famille)









Monday, July 28, 2014

Un week-end magique au milieu des pierres levées // A magic week-end amid standing stones



Les "Rollright Stones" dans le Oxfordshire 


Chers amis, // Dear friends,


J'espère que vous allez bien et ne souffrez pas trop de la chaleur (ou des inondations!). // I hope you are well and not suffering too much from the heat (or floods!). 

Ce week-end, pour mes recherches, je suis partie me plonger dans l'atmosphère légendaire de mégalithes anglais peu connus du public. C'est un groupe de pierres levées, appelé les "Rollright Stones", qui datent de l'époque néolithique et sont situés dans la région des Cotswolds, dans le Oxfordshire. // This weekend, for my research, I went to plunge myself into the atmosphere of some legendary English megaliths, little known to the public. It's a group of standing stones, called the "Rollright Stones", dating from the Neolithic period, which are located in the Cotswolds, in Oxfordshire. 




La légende locale veut qu’une sorcière transforma un roi et ses soldats en pierres et que ces derniers reprennent parfois vie pour aller se désaltérer dans la source d’eau voisine (du nom de Little Rollright) et danser en cercle à minuit. // Local legend has it that a witch turned a visiting king and his soldiers in stone and that they sometimes come back to life to go and drink in the nearby water source (named Little Rollright) and dance in a circle at midnight. 


Personnages de légende pétrifiés dans la pierre depuis des millénaires //
Legendary characters petrified in the stone for millennia 

L’endroit possède une magie toute particulière, qui a attiré hommes et animaux de millénaire en millénaire. Son atmosphère étrange, à la fois mystérieuse et paisible, a inspiré deux grands penseurs du dix-huitième siècle, William Stukeley, un spécialiste d'histoire ancienne qui contribua à la renaissance du mouvement druidique, et William Blake, le grand poète visionnaire, dont le sublime poème "Jérusalem" est un hymne à l'Île de Bretagne celtique et druidique. // The place has a special kind of magic, which has attracted men and animals alike from millennium to millennium. Its strange atmosphere, both mysterious and peaceful, has inspired two great thinkers of the eighteenth century, William Stukeley, an antiquarian and archaeologist who contributed to the revival of Druidic movement, and William Blake, the great visionary poet, whose sublime poem "Jerusalem" is an ode to Celtic and Druidic Britain. 




Microscosmes dans la pierre // Microcosms in the stone 


Si jamais vous visitez ce site, lorsque vous vous trouverez au centre du cercle, arrêtez-vous quelques minute et laissez-vous porter par le moment : on dit que des vagues d’énergies irradient à l’intérieur du cercle, peut-être pourrez-vous les sentir ! J'ai eu moi même la chance de les sentir, avec l'aide d'un sourcier (avec et sans baguettes), et cela a été pour moi une expérience aussi émouvante que puissante. // If you ever visit this site, find the centre of the circle and stop there a few minutes, letting yourself be relaxed and in the moment: it is said that waves of energy radiate inside the circle, may be able you feel them! I was lucky enough to, with the help of a dowser (with and without dowsing sticks), and it was for me a very moving and powerful experience. 

Quel privilège d'explorer ce site avec un sourcier et un sage, Ron Dudley Smith, qui est sourcier depuis l'âge de quinze ans! // What a privilege to explore this site with an experienced dowser (since the age of 15!) and a wise man, Ron Dudley Smith.


Les baguettes parlent! // The dowsing rods speak! 

Mystères profonds et fascinants de notre si belle mère, la Terre... // Deep and fascinating mysteries of our beautiful Mother Earth ...

Les petites lueurs de Marwen? // Marwen's little lights? 


Un papillon qui nous a accompagnés pendant toute notre visite //
A butterfly that accompanied us during our whole visit 


Toutes photos © Miles Martin // 
All photos © Miles Martin